Barthélémy Grossmann investit le Hyatt Paris Madeleine

Connu comme cinéaste, Barthélémy Grossmann est aussi en parallèle artiste peintre. Né à Genève en 1981, il quitte l’école à l’âge de 15 ans pour aller à Paris, dans le but de faire des films.

Travaillant aujourd’hui entre Los Angeles, Paris et Genève en tant que scénariste, réalisateur et comédien, son travail artistique s’inscrit dans la continuité de son travail cinématographique qui reflète les thèmes qui l’obsèdent, l’ascension sociale, l’argent, la réussite et le prix à payer pour atteindre son rêve. Le rêve américain….

Barthélémy Grossmann investit le Hyatt Paris Madeleine

Depuis le 5 octobre 21, Barthélémy Grossmann a installé ses œuvres à l’hôtel Hyatt Paris Madeleine – Sur les cimaises du restaurant, de la réception, des salles de conférences, dans les couloirs et même dans des suites ! Ses toiles s’offrent à nous, nous interpellent par leurs couleurs et la force qu’elles dégagent. A nous de les accueillir comme elles se donnent à voir.

Ses œuvres picturales sont empreintes de ses expériences, sa réflexion face au monde d’aujourd’hui. Tant de questions le tourmentent. L’art est un exutoire. Son art pictural, figuratif et naïf, est une vision artistique du monde extérieur, une réflexion, où cette idée d’ascension, du rêve américain si chère aux cinéastes et universellement symbolique de la réussite, et la recherche du bonheur se cache dans chaque œuvre.

Barthélémy Grossmann est un artiste passionné. Son inspiration ? la nature aussi bien que la rue. Ses influences ? il le reconnait aisément – par d’autres créateurs autant que les gens qu’il peut côtoyer et qui partagent les mêmes valeurs.  

Quand des indiens s’installent à l’hôtel

Depuis quatre ans, un personnage est récurrent dans son œuvre – l’Indien – qui représente pour Barthélémy Grossmann l’exception, la différence dans une époque de plus en plus homogène. C’est le symbole de la connexion à nature, seule issue possible pour le bien-être de l’humanité. Avec ses Indiens, l’artiste souhaite rappeler à chacun le guerrier qui sommeille en lui, en gardant ses valeurs, son intégrité et le respect de son entourage, pour mener à bien sa vie et sa carrière.

L’indien, tel que l’artiste le représente avec tout le symbolisme contenu, ne serait-il pas en fait cet ange gardien qui nous guide et veille sur nous ?

Afin de rendre ses œuvres accessibles – et que ses indiens pénètrent dans les foyers du monde entier pour donner à leurs habitants force et courage, Barthélémy Grossmann a créé le projet « 10 000 indiens », des œuvres en petit format à 100 € pièce. (En collaboration avec ID Room Gallery de Genève : www.indian-forever.com)

Jusqu’au 30 novembre 2021

Hyatt Paris Madeleine, 24 Bd Malesherbes, 75008 Paris

photos : Véronique Spahis