Jazz à l’Unesco

Vous me connaissez (pour ceux qui ne me connaissent pas, faisons connaissance…), J’ai toujours été fan de Jazz, jouant du jazz moi-même. Cette musique vivante qui se nourrit de toutes les influences, qu’elles soient, africaines, brésiliennes, celtes, cubaines, flamenco, arabo-andalouses, asiatiques ou manouches. Savoir que cette musique là a été choisi par l’UNESCO pour un concert intitulé : « Jazz au service de la paix » dans le cadre de la journée internationale du Jazz, je n’ai pas attendu la demande de ma rédac’ chef préférée pour foncer à l’UNESCO avec un ami musicien.

Après les discours de rigueur (bien que fort sympathiques) de Messieurs :

Anar KARIMOV Ambassadeur, Délégué permanent de la république d’Azerbaïdjan auprès de l’Unesco.

Hector CONSTANT ROSALES Ambassadeur, Délégué permanent de la république Bolivarienne du Venezuela auprès de l’Unesco et président du groupe des Pays Non-alignés (NAM) chapitre UNESCO

Oumar KEITA Ambassadeur, délégué permanent de la république du Mali auprès de l’Unesco.

Nous avons eu droit à 3 concerts de groupes venant du Vénézuela, d’Azerbaïdjan et du Mali. Chacun d’eux interprétant des morceaux inspirés de la musique traditionnelle de leur pays.

Très harmonieux et plutôt classique pour le Vénézuela avec Violon, Hautbois, Cuatro et contrebasse.

Plus populaire avec une des plus grande  vedette d’azerbaïdjan : Tunzale Aghayeva accompagnée par Basse, clavier, batterie.

Franchement Africain avec « Bonjour Momo » du chanteur, auteur compositeur Cheik Tidiane qui a invité à monter sur scène toute sa famille et qui a mis le feu à la salle…

S’il ne c’était pas arrêté, je crois que j’y serais encore.

Longue vie au Jazz et à l’UNESCO.

Dès le lendemain, je me suis jeté sur internet pour voir quels événements pour le Jazz day avaient eu lieu dans le monde.
Je vous ai rapporté une petite perle vidéo de Melbourne avec James Morrisson à la trompette et William Barton au Didgeridoo.

Eric Turlot