Les Super-Héros de La Warner : Une Célébration Épique !

Comme un rituel, chaque année, à la période automnale, des millions de personnes – du cinéphile au gamer, en passant par le sériephile, le bédéphile et le collectionneur, toutes générations confondues et, répartis au quatre coins de la planète – attendent, impatients, que la Warner leur dévoile ses nouvelles créations. À Paris, c’est au sein de ses locaux situés à Neuilly-sur-Seine, le 3 octobre dernier, que la Warner a fait son showcase.

Si, comme toujours, les studios hollywoodiens nous ont présenté une magnifique et éclectique sélection de films, contes, jeux et anthologies en tous genres. Cette fin d’année reste cependant marquée, pour le plus grand bonheur des fans de super-héros, par deux dates anniversaires particulières : l’anniversaire de Batman « le Chevalier Noir », qui a célébré ses 85 printemps en mars dernier et, celui, moins festif, de la mort tragique, il y a 20 ans, le 10 octobre 2004 plus exactement, de Christopher Reeve, celui qui incarna pour la première fois au cinéma le tout premier super-héros de tous les temps, Superman, « l’homme d’acier ».

Pour célébrer ces deux anniversaires, la Warner multiplie les événement à commencer par deux documentaires très complémentaires consacrés à l’épopée aussi bien magique que tragique de Christopher Reeve :

Le premier, intitulé « Super/Man : L’histoire de Christopher Reeve », a été réalisé par Ian Bonhôte et Peter Ettedgui, auteurs en 2018, du film documentaire McQueen, consacré au célèbre couturier Alexandre McQueen et, en 2020, Rising Phoenix, un documentaire qui suit l’histoire du mouvement paralympique.

Dans ce film documentaire inédit, sorti en salle le 9 octobre 2024, et que nous avons vu en avant-première, les auteurs retracent avec brio l’ascension spectaculaire de Christopher Revee. Ils nous relatent comment, d’acteur méconnu, Revee est devenu une véritable icône interplanétaire. Jusqu’à ce jour tragique, le 27 mai 1995, où, il est victime d’un terrible accident d’équitation qui le laissera, à vie, tétraplégique.

« L’homme qui a fait croire à des milliers de personnes qu’il pouvait voler »

Cela faisait longtemps que les trois enfants de l’acteur, Alexandra Reeve Givens, Matthew Reeve, et Will Reeve souhaitaient raconter, à travers un documentaire, l’histoire hors du commun de leur père, cet homme qui a fait croire à des milliers de personnes qu’il pouvait voler.  Mais le moment n’était jamais bien choisi et les centaines de propositions auxquelles ils ont dû répondre ne correspondaient pas à l’image de l’homme et, du super-papa qu’ils voulaient partager avec le public. Jusqu’au jour où, une « boite de prod » leur propose, enfin, un sujet original « Après plusieurs appels Zoom transatlantiques. L’équipe de la production a réalisé une vidéo de présentation pour illustrer leur vision du projet, et nous avons adoré. Ils nous ont ensuite présenté Ian Bonhôte et Peter Ettedgui, et ces derniers nous ont immédiatement convaincus.

Pour Peter Ettedgui, ce fan inconditionnel de Reeve/Superman, ce documentaire était pour lui comme une évidence « Lorsque nous avons réalisé Rising Phoenix, nous avons vu des images de Christopher aux Jeux paralympiques d’Atlanta. D’une certaine manière, c’était comme si l’idée d’un biopic et des droits des personnes handicapées se rejoignaient dans l’histoire de la vie d’un seul homme« . Pour Ian Bonhôte « Reeve était vraiment une bonne personne, ce fut extrêmement agréable de travailler sur un film qui s’intéresse à une personnalité comme la sienne. Les personnes de sa vie que nous avons rencontrées lors du tournage – ami(e)s, partenaires, épouses, ses enfants, tous autant extraordinaires les uns que les autres, n’ont fait qu’amplifier ce sentiment. »

De gauche à droite, Matthew Reeve, Alexandra Reeve Givens et Will Reeve. En bas,  de gauche à droite, Peter Ettedgui et Ian Bonhôte @Warner Bros :

Si ce film explore une partie de la vie de Christopher Reeve « celle d’avant son accident », les auteurs se concentrent cependant sur « celle d’après », celle durant laquelle il va se  battre contre son handicap, entouré de sa famille et de ses amis, Robin Williams, Whoopi Goldberg, Susan Sarandon ou encore  Glenn Close. Les réalisateurs nous révèlent ainsi une facette méconnue de Reeve, celle d’un homme résilient, passionné par sa famille et déterminé à surmonter l’adversité. Pour autant, les auteurs n’hésitent pas à explorer la part d’ombre de l’acteur. Comme l’a confié Peter Ettedgui lors d’un interview : « Dès notre première rencontre avec les enfants nous avons été clairs et leur avons expliqué que nous ne souhaitions pas faire un portrait de célébrité lisse et hagiographique. Nous voulions montrer leur père avec ses fragilités, ses défauts… » 

C’est donc, à travers des images d’archives inédites, que les auteurs nous plongent dans l’intimité de l’homme, héros malgré lui, et dressent un parallèle fascinant entre ses combats quotidiens et son rôle emblématique. De ces débuts, en 1974, quand Christopher Reeve, ce jeune passionné de Shakespeare et Tchekhov intègre la prestigieuse Juilliard School (conservatoire supérieur privé de musique et des arts du spectacle) de New York,  en  passant par son amitié inconditionnelle avec Robin Williams. Jusqu’à son casting avec le réalisateur Richard Donner où il décrochera, non sans mal, le rôle de Superman.  Mais surtout, les auteurs nous dévoilent ses instants précieux passés auprès de ses enfants et de son épouse, la chanteuse Danna Reeve Morosini. Jusqu’à son terrible accident, le 27 mai 1995, qui lui brise deux vertèbres et lui sectionne la moelle épinière.

 Après sa chute, Reeve va, pendant plusieurs jours, osciller entre la vie et la mort, entre arrêts cardiaques et réanimation avant de se réveiller et de découvrir qu’il est tétraplégique – en dessous du cou, plus rien ne bouge, paralysie totale – et qu’il ne peut respirer que par assistance respiratoire. Un choc pour celui qui incarnait le personnage d’un super-héros, invincible aux muscles d’acier. Il se questionne alors sur sa vie, son avenir ainsi que sur l’impact que cette tragédie peut avoir sur sa famille, et envisage même de mettre fin à ses jours.

Dans sa biographie Still Me, publiée en 1998, Christopher raconte  comment son grand ami Robin Williams lui avait rendu le sourire, à un moment où, ne supportant plus  son hospitalisation et sa paralysie, Il était en train  de baisser les bras : “un jour  la porte s’est ouverte et s’est précipitée Une personne accroupie avec un bonnet bleu, une blouse chirurgicale jaune et des lunettes parlant avec un accent russe. Il a annoncé qu’il était mon proctologue et qu’il devait m’examiner immédiatement”. Car si Christopher Reeve et Robin Williams avaient, chacun de leur côté, rencontré le succès, atteignant même le statut de superstars, leur amitié ne s’est jamais essoufflée. Plus qu’un frère, Robin l’a accompagné jusqu’à son dernier souffle. Glenn Close confie d’ailleurs qu’elle a « toujours eu l’impression que si Chris avait été encore là, Robin n’aurait pas mis fin à ses jours et serait encore en vie ». C’est aussi dans l’amour de Danna, son épouse,  et de ses trois enfants que Reeve  a trouvé la force de se battre et qu’il a su, malgré son handicap et ses souffrances abyssales, garder son sens de l’humour : le 25 mars 1996, sur la scène des Oscars pour une standing ovation, ce dernier ironise sur la lenteur de ses déplacements en lançant, devant tout le gratin hollywoodien présent dans la salle «  Ce que vous ne savez pas, c’est que je suis parti de New-York en septembre dernier et je suis arrivé seulement ce matin ». Christopher Reeve s’est éteint, le 10 octobre 2004, à la suite d’une septicémie, mais il restera, pour toujours, un héros avec ou sans cap. Pour son fils, Will « Notre père s’est battu, à travers la fondation qu’ils ont fondé avec ma mère, pour améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de paralysie. Et tout ce travail se poursuit aujourd’hui. » Il reste toutefois une zone d’ombre qui n’a pas été traitée par les auteurs : si sa quête pour trouver un remède contre les lésions et maladies de la moelle épinière était légitime, Reeve soutenait la science et son expérimentation animale. Mais à l’époque, avait-il le choix ? Quoiqu’il en soit, il serait certainement heureux d’apprendre qu’aujourd’hui, des scientifiques ont trouvé des alternatives et qu’il sera un jour possible de ne plus torturer des animaux pour se soigner. Christopher Reeve, est devenu à travers son combat, un exemple pour les personnes atteintes de handicapes – la bande-annonce de ce documentaire a d’ailleurs été présentée à l’occasion des J.O. Paralympiques de Paris – mais pour le monde entier, Christopher Reeve et Superman ne font qu’un. Et Reeve reste, avant tout, l’interprète indétrônable du super-héros venu de Krypton.

C’est justement sur ce  parcours cinématographique hors du commun que s’articule le second documentaire, « Christopher Reeve : Le Superman Éternel« , réalisé par Philippe GUEDJ  et Philippe ROURE, dont la voix off est signée par Pierre ARDITI et qui sera diffusé à partir du 25 octobre, à 20h50, sur la chaîne TCM Cinéma.

En février 2004, le journaliste Philippe Guedj, se retrouve face à son héros d’enfance pour mener une interview dans le cadre du festival du film Jules Verne. Christopher Reeve. Lors de cette interview, le surhomme diminué n’en est pas moins souriant, chaleureux et, surtout, il fait preuve d’une extraordinaire force de vie. Il revient sans détour sur sa carrière, ses ambitions professionnelles, ses déceptions artistiques, les valeurs que lui a insufflé le super-héros et celles qu’il a tenté à son tour de transmettre à la ville.

Photo de l’entretien © CIE DES PHARES & BALISES – 2024 :

Tout commence, en 1974, quand Christopher Reeve, ce jeune passionné de Shakespeare et Tchekhov qui se voyait « bruler les planches » de Broadway- rêve qu’il réalisera, en 1976, au Broadhurst Theatre , en donnant la réplique à l’actrice Katharine Hepburn dans la pièce A Matter of Gravity, intègre la prestigieuse Juilliard School ( conservatoire supérieur privé de musique et des arts du spectacle) de New York. C’est d’ailleurs, entre les murs de cette prestigieuse école de théâtre que Reeve rencontre un autre un jeune acteur, inconnu au bataillon comme lui, et qui va devenir son colocataire et son plus cher ami, Robin Williams. Les deux compères, travaillent dur, et intègrent ainsi un programme avancé dirigé par l’acteur, scénariste, réalisateur et producteur John Houseman.

Bien que ce jeune comédien de théâtre, issu d’une famille d’intellectuels socialistes, n’est pas fan de super-héros  « Je ne connaissais pas superman, j’ai découvert la série télé « Les aventures de Superman » interprété par Georges Reeves ( aucun lien de parenté entre les deux acteurs), chez des camarades, nous n’avions pas de télévision à la maison, et je dois avouer que j’ai trouvé ça un peu stupide .», il n’en demeure pas moins qu’il va se retrouver, du haut de ses 1m95, au cœur du casting – parmi 200 autres acteurs, dont Robert Redford, Harrison Ford, Sylvester Stallone… organisé par les Studios Warner Bros pour la production d’un  Blockbuster sur l’un des super-héros le plus prolifique du  mensuel  Action Comics (DC Comics aujourd’hui)   Superman. 

 Superman a été créé en 1933, par deux adolescents de Cleveland, Jerry Siegel et Joe Shuster, qui rêvaient de percer dans le monde de la bande dessinée. En pleine Amérique de la grande dépression et tandis que le nazisme monte en Europe, ces deux fils d’immigrés juifs s’imaginent un protecteur venu du ciel pour sauver l’humanité. Superman sera la synthèse de leur influence, comme Tarzan ou Flash Gordon. Mais aussi de textes bibliques et mythologiques. Leur héros incarne le migrant ultime, une sorte de Moïse doublé de la force des demi-dieux, Samson et Hercule. Ils mettent 5 ans avant de trouver un éditeur, mais Superman sera enfin édité dans la nouvelle revue, Action Comics, en juin 1938. Pour l’éditeur, DC comics c’est un succès immédiat. Si Superman est un extraterrestre, venant de la planète Krypton, gendarme du monde, protecteur de l’humanité, doté d’une force herculéenne et super musclé, … Christopher Reeve est quant à lui encore un jeune gringalet, sans pouvoirs, quand il rencontre pour la première fois son nouveau alter-ego, l’homme d’acier

C’est au réalisateur, Richard Donner, que l’on confie la tâche délicate d’adapter Superman au grand écran. Le tournage s’annonce difficile, les auditions se déroulent mal, Robert Redford refuse le rôle, Sylvester Stallone quant à lui le veut à tout prix mais les producteurs trouvent qu’il n’a pas le profil.  C’est alors, en raclant les fonds de tiroirs des agents de New-York que Donner découvre ce jeune acteur de 25 ans : Christopher est si stressé qu’il donne sa célèbre réplique « Je suis ici pour défendre la vérité, la justice et les valeurs américaines » avec d’énormes auréoles de transpirations sous les bras. Donner est toutefois charmé, mais un hic subsiste, il le trouve trop maigre, il ne pèse que 77 kilos. Christopher, qui refuse d’endosser un costume doté de faux muscles, promet à Donner de se muscler avant le début du tournage. De son côté, Donner, qui surnommait le jeune acteur de “skinny little kid” lui propose de travailler avec un coach, David Prowse, un bodybuilder anglais qui venait d’incarner Dark Vador dans le premier épisode de Star Wars (Dave Prowse avait décroché le rôle grâce à sa carrure – il mesurait près deux mètres (1,98 m) – mais comme le fort accent du comédien originaire de Bristol (ouest de l’Angleterre) avait été jugé peu approprié, la voix du personnage avait été jouée par James Earl Jones.)

En 2017, David Prowse est revenu sur cette anecdote dans The Hollywood Reporter : « Dick Donner m’a appelé pour me demander de venir au studio le plus rapidement possible, car il avait trouvé son Superman« , se souvient Prowse.  Il a alors accepté de coacher Reeve pendant six semaines. « Il était fantastique. C’était quelqu’un d’adorable. Nous étions comme deux frères, on s’entendait vraiment très bien. Grâce à mon entraînement, il est passé de 77 à près de 100 kilos pour pouvoir porter le costume. » Christopher décroche le rôle et Superman : Le film, sort en salle en décembre 1978 aux Canada et USA puis en janvier 1979 dans les salles françaises. Le succès est immédiat – le film reste au Boxoffice pendant plusieurs semaines et enregistre plus 50 millions d’entrées à l’internationale – mais propulse surtout, celui qui rêvait de « brûler les planches » de Broadway, au rang d’une des plus grandes icones de la pop culture par son interprétation de Superman et de son alter ego Clark Kent.

Pourtant, en dépit de ce succès, Reeve, rêve toujours d’incarner un vrai rôle de film d’auteur, mais il comprend vite la difficulté de détacher sa personne d’un rôle qui planera sur tous les films qu’il tournera par la suite, malgré son talent d’acteur évident, et son désir de ne plus être réduit à ce rôle de super-héros. Tour à tour, à travers des interviews riches en anecdotes, les anciens collaborateurs, auteurs, réalisateurs, de Reeve, tels qu’Ilya Salkind, Jim Bowers, Mark Waid, entre autres, vont revenir sur la carrière de Reeve, de ses succès à ses flops, jusqu’à la métamorphose de Christopher Reeve en super-héros du réel.

Pour compléter ces deux documentaires, et pour le plus grand bonheur des fans, depuis le 3 octobre et jusqu’au 5 novembre, sur la chaine TCM Cinéma, vous propose de revoir, à la demande, les 4 films de Superman, interprété par Christopher Reeve : Superman I réalisé par Richard Donner (1978), Superman II réalisé par Richard Lester (1980), Superman III réalisé par Richard Lester (1983), Superman IV réalisé par Sidney J. Furie (1987).

Quand Superman a été publié pour la première fois en 1938, son immense succès a poussé Harry Donenfeld et Jack Liebowitz, les propriétaires de DC, à répéter la formule et ont demandé au dessinateur Bob Kane de créer un nouveau super-héros. C’est ainsi que ce dernier et le scénariste Bill Finger imaginent un super-héros vêtu de noir, Batman. Ce dernier apparaît pour la première fois dans le comic book, Detective Comics no 27 en mai 1939 — mais en réalité il est apparu pour la première fois le 30 mars 1939 — sous le nom de The Bat-Man.

Ce super-héros de Gotham, sa ville de naissance, se distingue de Superman non pas par ses super pouvoirs, mais par son intelligence, ses compétences et son savoir-faire : né d’une tragédie, la quête incessante de justice de Bruce Wayne, son alter ego, et sa volonté de protéger les autres ont fait de lui une icône instantanée. Le Chevalier Noir est ainsi devenu un symbole de détermination, de courage et de justice pour des générations de fans depuis plus de 85 ans.

Pour célébrer son 85ème anniversaire, les fans de Batman du monde entier se sont réunis en septembre dernier : à Hollywood. Ils ont pu assister à l’inauguration de l’étoile du chevalier noir sur le Boulevard Walk of Fame. Et à Paris, depuis le 25 septembre et jusqu’au 31 octobre, le Centre Paris Anim’ Marc Sangnier, en partenariat avec Urban Comics, nous offre, à travers une exposition intitulée Batman « la construction d’un mythe », une rétrospective qui met en lumière l’évolution de Batman depuis ses débuts en 1939, en passant par ses multiples incarnations dans les comics, les séries télévisées, les films et les jeux vidéo. L’exposition explore également les thèmes complexes qui définissent ce héros : la justice, la peur, la dualité et le sacrifice. Cette expo vous plonge ainsi dans l’univers sombre et captivant de Gotham City, et dévoile comment un simple personnage de bande dessinée est devenu l’un des super-héros les plus emblématiques de la culture populaire.

 Superman et Batman ont toujours été, de près ou de loin, liés, mais ce n’est qu’en 2016 qu’ils se rencontrent pour la première fois au cinéma, dans le film de Zack Snyder, Chris Terrio et David S. Goyer : Batman v Superman : L’aube de la Justice. Si dans ce scénario, Superman, interprété par Henry Cavill, et Batman, interprété par Ben Affleck, se combattent plus qu’ils ne s’apprécient, les auteurs ont imaginé une scène où les deux super-héros conversent sur leurs différences philosophiques et leurs visions de la justice, mettant ainsi en lumière la tension et le respect mutuel entre les deux personnages malgré leurs divergences.

Divergences ou pas, les deux super-héros partagent l’immortalité, au cinéma comme dans les bandes dessinées et vous pourrez les retrouver très prochainement au grand écran : Superman, si tout va bien, en juillet prochain, et c’est David Corenswet qui endossera son costume pour la première fois. Quant à Batman, il faudra attendre 2026 et, il sera, à nouveau, interprété par le magnifique Robert Pattinson. À quand un nouveau duel Batman v Superman au grand écran ? Les fans s’impatientent.

Virginia Ennor

photos : ©Warner Bros et © CIE DES PHARES & BALISES

 Super/Man : L’histoire de Christopher Reeve », Ian Bonhôte et Peter Ettedgui, 2024, durée : 104 minutes.

Christopher Reeve : Le Superman Éternel« , de Philippe GUEDJ et Philippe ROURE, raconté par Pierre ARDITI, diffusé à partir du 25 octobre, à 20h50, sur la chaîne TCM Cinéma, durée 58 minutes.

SUPERMAN I réalisé par Richard Donner (1978), SUPERMAN II réalisé par Richard Lester (1980), SUPERMAN III réalisé par Richard Lester (1983), SUPERMAN IV réalisé par Sidney J. Furie (1987) depuis le 3 octobre et jusqu’au 5 novembre, sur la chaine TCM Cinéma.

Exposition, Batman « la construction d’un mythe » jusqu’au 31 octobre au centre Paris Anim’ Marc Sangnier, 20-24 avenue Marc Sangnier, Paris 14e : Lundi : 12:00–22:15, Mardi : 10:00–22:15, Mercredi : 10:00–22:15, Jeudi : 10:00–22:15, Vendredi : 12:00–21:15, Samedi : 10:00–18:00. Gratuit.