Ôbaba et l’artiste Darco
Vous êtes sur la plage, allongé sur votre serviette. Il fait chaud et vous allez vous baigner. Le vent se lève et…. votre serviette s’est envolée…
Ôbaba a lancé à Ibiza en 2012 un nouveau produit innovant : le drap de plage XXL. Ses particularités ? il est fin, résistant, sèche vite et livré avec quatre « piquetas » pour le fixer dans le sol !
Eté 2017, pour sa cinquième collection, Ôbaba dévoile 3 tailles et 10 couleurs, dont deux collections capsules (Saint-James et Darco) et une collection limitée. Avec Darco, le street Art arrive sur la plage : 300 pièces uniques numérotées par l’artiste. Darco, artiste de Street Art, a ainsi donné naissance à une œuvre d’art de près de 3m intitulée « Bon voyage » acquise par La Galerie Nationale Dubaï.
Le drap de plage ÔBABA est « Made in France« . Le produit est né dans la région lilloise. Le nom ÔBABA a été trouvé par Louise, une petite fille de 10 ans, et la fabrication du drap de plage est effectuée par de petites entreprises françaises indépendantes, soucieuses de la qualité et du respect de l’environnement. Le tissage est réalisé dans les Vosges spécialement pour nous du fait de sa finesse, sa résistance, sa qualité et sa taille. La teinture est de la région lyonnaise.
100% coton – résistant au vent – léger et naturel – compact – de nouvelles couleurs sont proposées (peu de risque de trouver votre voisin de plage avec le même !) : Jaune Nice, Turquoise Moorea, Framboise Miami, Bleu St Barth, Vert Versailles, Corail orangé Hawaï, Rose Rio, Bleu imprimé Ibiza, Bleu nuit Saint James,…
Ôbaba et l’artiste Darco :
Darco est un artiste peintre, qui vit et travaille en France. Issu du mouvement graffiti, street-art, il fait partie de la première génération de graffeurs en Europe.
Les alphabets et lettrages sont la matière première et le sujet principal de son travail.
Très vite, Darco a développé un style personnel, très énergique, basé sur une recherche permanente de l’originalité des formes et de la dynamique du geste, et intégré rapidement les perspectives comme surfaces actives dans ses peintures. Bien qu’ayant une approche moderne de la calligraphie et de la typographie, il se dissocie rapidement de la fonction première de la lettre, qui est d’être lue, pour se concentrer sur la recherche purement esthétique. Son style est marqué par la complexité, presque géométrique, des constructions de lettres et la précision de son geste.
Il est le premier graffeur en France à être condamné pour « destruction de biens publics » en 1988 par la SNCF qui, suite à ce procès très médiatisé, lui demande de peindre des fresques notamment à la Gare du Nord. Véritable expert du graff et du tag, il intervient régulièrement en tant que consultant, directeur artistique de projets, ou maître de conférence et spécialiste à des rencontres, des débats ou dans des ouvrages, et des interviews, sur le sujet, en France et à l’étranger. Il écrit son premier livre en 2006 intitulé «Darco Code Art» édité chez Alternatives. En 2007, Darco lançait une collection de bijoux et de boucles de ceintures en collaboration avec la joaillière Anjuna. Aujourd’hui, ses œuvres sont régulièrement exposées en galerie et ont été acquise par des musées. En plus de son activité d’artiste, il continue de réaliser des performances (live painting) et travaille dans des domaines aussi différents que la décoration, la mode, le luxe, l’architecture, le design, l’évènementiel, avec des sociétés comme Virgin, BMW, Posca, Make Up For Ever, Clarins, M.A.C cosmetics, Peugeot, Quintessence ou Hermès.
Et si vous apportiez un peu d’art à la plage ?