Fin décembre, pour ses 20 ans, Staedtler France a inauguré son nouveau siège à Nanterre et a présenté ses nouveautés en avant-première.
Enfin, elles sont toutes disponibles depuis mars 19. Des produits de qualité et abordables pour tous et tous les âges. Les gammes beaux-arts pour les artistes en herbe sont parfaites pour les enfants et les enfants et celles très segmentées pour les professionnels comme les graphistes.
Du crayon de charpentier aux graphites qui existe en plusieurs duretés, des crayons de couleur « permanents » et des feutres à double pointe qui écrivent même sur la pierre, des feutres pour les calligraphes ou le brush, des liners et des marqueurs métalliques à pointe fine, des craies à la cire, des peintures…. Le choix est vaste !
Le modelage et les travaux manuels ne sont pas en reste avec la célèbre pâte Fimo qui existe en diverses versions, notamment pour les professionnels, pour les enfants, et avec différents finis et accessoires. De quoi créer des bijoux, des décors de tables, des poignées de meubles et tout ce qui sortira de votre imagination.
Mes coups de cœur : la gomme plastique blanche (qui m’accompagne depuis le collège), le porte-mine « Initium », le mini set de bureau « triplus », les crayons aquarellables en 60 couleurs….
STAEDTLER est l’un des plus importants fabricants européens de produits pour l’écriture, le coloriage et le marquage. Qualité et technicité se rejoignent, faisant de STAEDTLER une entreprise résolument tournée vers la modernité. Le développement permanent de nouveaux produits est un défi pour STAEDTLER depuis près de 185 ans. Marque aux nombreuses gammes, l’entreprise répond aux besoins de chacun et trouve sa part de succès tant chez les professionnels qu’auprès du grand public. Soucieuse d’offrir une qualité constante et une durabilité accrue de ses produits, STAEDTLER conçoit et fabrique des produits de haute qualité, faciles à utiliser et qui durent.
La fondation STAEDTLER est à l’origine de l’organisation de la Journée Mondiale du Coloriage qui a lieu en janvier.
photos : Véronique Grange-Spahis